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Alors que la situation géopolitique reste tendue, une lueur d'espoir émerge concernant la résolution du conflit russo-ukrainien. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a confirmé ce matin son accord pour un sommet avec son homologue russe Vladimir Poutine, une annonce qui suscite de grands espoirs pour un dénouement pacifique.

Dans une déclaration faite à un groupe de médias, dont l'Agence France-Presse, Zelensky a exprimé sa volonté de dialoguer directement avec Poutine, soulignant la nécessité d'une discussion franche et ouverte pour parvenir à une paix durable. Il a également proposé trois lieux potentiels pour accueillir ce sommet crucial : Bakou, Dubaï et Istanbul. Ces villes ont été choisies en raison de leur neutralité géographique et de leur capacité à garantir la sécurité des délégations.

Pourquoi ces lieux ? Le choix de Bakou (Azerbaïdjan), Dubaï (Émirats arabes unis) et Istanbul (Turquie) n'est pas anodin. Ces villes jouissent d'une réputation de médiateurs neutres et sont situées dans des régions géographiquement stratégiques. L'Azerbaïdjan, les Émirats arabes unis et la Turquie ont tous démontré leur engagement envers la résolution pacifique des conflits et leur volonté de faciliter le dialogue entre les parties prenantes.

Les attentes et les défis La perspective d'un sommet Zelensky - Poutine est accueillie avec prudence et optimisme. Si une rencontre directe entre les deux dirigeants pourrait ouvrir la voie à des négociations significatives, de nombreux défis restent à surmonter. Les positions des deux parties sur les questions clés, telles que le statut des territoires contestés et la sécurité régionale, restent profondément divergentes.

L'annonce de Zelensky intervient alors que les combats continuent dans l'est de l'Ukraine, et que les tensions restent vives le long de la frontière. La communauté internationale observe avec attention les développements, espérant que ce sommet puisse marquer un tournant décisif vers une solution négociée.

La réaction internationale Les réactions internationales à l'annonce du sommet ont été majoritairement positives. Les États-Unis, l'Union européenne et l'Organisation des Nations Unies ont salué la volonté de Zelensky d'engager le dialogue et ont exprimé leur soutien à toute initiative visant à désamorcer la crise.

Prochaines étapes L'organisation du sommet dépendra de l'accord entre les deux parties sur le lieu et la date de la rencontre. Des discussions diplomatiques sont en cours pour déterminer les modalités pratiques de ce sommet historique. Le monde entier retient son souffle, espérant que ce dialogue puisse déboucher sur une paix durable en Ukraine.