Santé Publique France alerte : l'Occitanie face à une prévalence inquiétante des maladies coronariennes

2025-07-24
Santé Publique France alerte : l'Occitanie face à une prévalence inquiétante des maladies coronariennes
Midi Libre

Santé Publique France tire la sonnette d'alarme : l'Occitanie, région du sud de la France, présente un taux d'incidence particulièrement élevé de maladies coronariennes, surpassant la moyenne nationale. Cette constatation souligne une urgence de santé publique nécessitant une attention particulière.

Qu'est-ce que les maladies coronariennes ? Les maladies coronariennes, également appelées cardiopathies ischémiques, résultent d'un rétrécissement des artères coronaires, vaisseaux sanguins qui irriguent le cœur. Ce rétrécissement, souvent causé par l'accumulation de plaques d'athérome (cholestérol, graisses, et autres substances), réduit l'apport d'oxygène au muscle cardiaque. Les conséquences peuvent être graves : angine de poitrine, infarctus du myocarde (crise cardiaque), voire mort subite.

Pourquoi l'Occitanie est-elle plus touchée ? Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette prévalence accrue dans la région. Des études sont en cours pour déterminer avec précision les causes, mais plusieurs pistes sont explorées :

Les conséquences pour la santé publique Ce taux d'incidence élevé a des conséquences importantes pour le système de santé : augmentation des hospitalisations, des interventions chirurgicales (pontages coronariens, angioplasties), et des coûts de santé. Il souligne également la nécessité de mettre en place des actions de prévention efficaces.

Que faire pour prévenir les maladies coronariennes ? La prévention reste la clé pour réduire l'impact de ces maladies. Voici quelques recommandations :

Santé Publique France appelle à une mobilisation collective pour lutter contre les maladies coronariennes en Occitanie. Des campagnes de sensibilisation et des actions de prévention ciblées sont en cours de développement pour informer et accompagner la population vers des modes de vie plus sains.

Source : Santé Publique France

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